Prématurité : les effets surprenants du confinement
En ces temps de confinement, nous nous sommes penchées sur la prématurité pendant le premier confinement justement. Et les résultats sont surprenants !
Le confinement et la prématurité
C’est l’histoire d’un spécialiste en néonat irlandais
En Irlande du Nord, le Docteur Roy Philip, spécialiste en néonatologie, revient de vacances.
Alors qu’il boit un café tranquillement en faisant le point sur les dossiers laissés par ces équipes*, il constate qu’aucun bébé n’est né prématurément dans son hôpital depuis un mois !
« Oh my god ! C’est incroyable ! »
Une baisse des naissances prématurées constatée un peu partout
Très vite, on se rend compte, chiffres à l’appui, que plusieurs pays ont constaté une baisse conséquente des naissances prématurées pendant ce confinement.
Parmi eux : le Danemark, le Canada et les Etats-Unis.
Comment expliquer une telle baisse de la prématurité ?
Coïncidence ? On ne pense pas 😏
Pour les experts, ce phénomène peut s’expliquer de deux façons.
D’une part, la prématurité a pu baisser du fait de la baisse de la pollution atmosphérique durant le confinement. En effet, les particules fines émises par la pollution sont mises en cause dans une partie des accouchements prématurés.
D’autre part, la prématurité a sans doute baissé en raison du confinement des mamans qui ont été moins stressées par leur quotidien avec notamment la suppression des temps de transports…
*Ok, on a un peu romancé le truc.
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